Das Neinhorn

Dans la forêt des coeurs, un adorable bébé licorne a fait son apparition. Le seul souci est que son vocabulaire semble quelque peu limité : NON aux cascades arc-en-ciel ! NON aux nuages de barbe à papa ! NON aux trèfles porte-bonheur scintillants et sucrés ! C’est un vrai licorNON ! Un matin, il décide de quitter la forêt pour parcourir le vaste monde. En chemin, il rencontre un raton-laveur un peu sourd, un QUOIton-laveur, un chien de berger nonchalant et flegmatique, un bergETALORS, et une princesse intransigeante, une prinSIsse… Le compositeur Michael Essl et la librettiste Pamela Dürr réinventent le livre de Marc-Uwe Kling en un opéra plein d’esprit et malicieux, explorant subtilement la phase d’opposition chez les enfants et célébrant les merveilleuses facettes du refus.

Emil und die Detektive

Emil se rend à Berlin pour rendre visite à sa grand-mère. Alors qu’il prend le train seul pour la première fois, il se fait voler l’argent que sa mère lui a confié… Quelle chance pour Emil de rencontrer Pony, une jeune berlinoise pleine de courage et d’énergie ! Ensemble, ils élaborent un plan. Réussirontils à confondre le voleur et à récupérer l’argent ? Dans cette nouvelle adaptation mêlant astucieusement scènes numériques et analogiques, et accompagnée d’une musique envoûtante, la metteuse en scène Julia Brettschneider et son équipe parviennent à transposer de manière captivante le classique intemporel d’Erich Kästner à l’époque actuelle.

D’Faarwemonster

Les couleurs sont sens dessus dessous : le rouge se mélange au jaune, le bleu se fond dans le vert. Les nuages noirs tourbillonnent et dansent avec les brouillards roses. Le monstre des couleurs est perplexe. Tout est chaotique ! Il ne comprend pas ce qui lui arrive… Quelles sont ces sensations que je ressens ? Comment puis-je exprimer mes sentiments ? Inspirées par le livre La Couleur des Émotions d’Anna Llenas, Jenny Spielmann et Catherine Hengesch ont créé un conte visuel et sonore qui plonge les enfants dans le monde des émotions de manière ludique.

Impulz

Imaginez un musicien disposant d’une collection d’inventions : des instruments télécommandés qui jouent uniquement de la musique lorsqu’on appuie sur un bouton. Imaginez un danseur en attente d’un signal musical pour s’exprimer, dépendant de l’impulsion du public. Imaginez maintenant les enfants devant d’appétissantes consoles garnies de gros boutons colorés : il est impossible de résister à l’envie d’appuyer ! Quelle joie alors de tester toutes les combinaisons de touches et ainsi de commander les adultes ! ImpulZ est un spectacle de danse interactif et ludique où les tout-petits se retrouvent aux commandes d’une incroyable collection d’instruments et deviennent ainsi les chorégraphes d’une pièce unique à chaque représentation.

Den Cello Express

Cette saison, l’Orchestre Philharmonique du Luxembourg ne se contente pas de donner un concert modéré pour les élèves des classes primaires, mais aussi pour toute la famille. Soyez les bienvenus au concert à bord du Cello-Express ! L’orchestre vous présentera les Variations sur un thème rococo de Tchaïkovski sous la direction de Martin Rajna. À cette occasion, Benjamin Kruithof vous entraînera dans un monde plein d’émotions et de couleurs grâce aux riches sonorités de son violoncelle.

Pizz’n’Zip

La scène est montée – un micro et une mystérieuse pédale magique, la loop station, sont prêts à passer à l’action. Deux musiciennes font leur entrée. À première vue, avec leurs uniformes semblables, leurs queues de cheval, leur sérieux apparent et leur chant à l’unisson, elles sont parfaitement identiques. La seule nuance ? Leurs instruments : l’une joue du violon, l’autre du violoncelle. Cependant, peu à peu, d’autres différences émergent. Après des désaccords et des affrontements turbulents et comiques, elles finissent par apprécier leurs dissemblances et en profitent pour achever le concert en pleine harmonie. Après tout, ce concert scénique ne célèbre pas
seulement avec humour la diversité des personnalités, mais permet aussi aux jeunes de découvrir toutes les variations des émotions du monde de la musique.

Inventing worlds – imaginär Welten am Fantasy- a Science-Fiction-Kino

Säit sengen Ufäng war de Kino ëmmer nees mat der Fro konfrontéiert, wéi sech Landschaften a Welten um Ecran duerstelle loossen, déi esou net oder net méi an der Realitéit existéieren – vu prehistoreschen, fantasteschen oder mythologesche Welte bis bei friem Planéiten an ausserierdesch Ekosystemer. An der Konferenz gi mir der Fro no, wéi de Kino dës erzieleresch Erausfuerderung gemeeschtert huet a wourun ee sech am Fantasy- a Science-Fiction-Kino inspiréiert huet.

« At what point do we escalate » – Ekoterrorismus am Film

Als Ekoterroriste gi Mënsche bezeechent, déi illegal Mëttel benotzen, fir d’Natur ze schützen oder fir op d’Destruktioun vun der Ëmwelt opmierksam ze maachen. Filmer, déi Ekoterroristen als Personnagen hunn, verhandelen Theme wéi Responsabilitéit, Moral, sozial Ongerechtegkeet, Gewalt an d’Zukunft vun der Mënschheet. Se gehéieren och zu den nach rare Filmer, déi sech mat der Klima- an der Biodiversitéitskris auserneesetzen an no Weeër sichen, dës am Kino duerzestellen.

D’Verhältnis tëschent Mënsch an Natur am Film – Eng philosophesch Approche

De Mënsch gesäit sech oft als getrennt – oder detachéiert – vun der Natur un. Hien (oder hatt) hëlt sech wouer als isoléierten Organismus, deen an eng friem Welt placéiert gouf, an en Environnement, deen hie konfrontéieren a kontrolléiere muss – oft mat fatale Konsequenze fir déi natierlech Ëmwelt. An dëser Konferenz wäerte mir eis op eng philosophesch Aart a Weis mat der Relatioun tëschent dem Mënsch an der Natur befaassen, an analyséieren, ob de Mënsch an dës Welt komm ass, oder selwer aus hir entstanen ass.

Lost in nature- D’Konfrontatioun tëschent Zivilisatioun an Natur

Spéitstens zanter de 70er Joren an den éischten ekologesche Beweegungen interesséiert de Kino sech fir d’Relatioun tëschent dem Mënsch an der Natur. Filmer wéi Deliverance (1972), Cast Away (2000), Grizzly Man (2005) oder The Revenant (2015) stellen d’Fro vun der Konfrontatioun tëschent Natur an Zivilisatioun, andeem se hir Protagonisten an d’Wüst, respektiv an de Bësch oder op einsam Insele schécken a kucken, wéi se do eens ginn. Wéi gëtt d’Natur awer an deene Filmer duergestallt, a wéi de Mënsch? An enger Zäit, an där munnecher d‘Mënschheet ganz wëllt vun der Natur trennen, erënneren dës Filmer eis drun, wou mer hierkommen, a stellen am
Endeffekt d’Fro vun eisem Iwwerliewen.